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comment bien choisir une poussette
Maternité PUÉRICULTURE

Test : La poussette LYRA William Kent

pousette lyra william kent

Devenir parents, c’est aussi voir son budget quotidien exploser avec des achats indispensables pour le quotidien, du matériel puériculture, des soins pour bébé… Parmi eux, le choix de la poussette est d’une importance capitale. En effet, elle va vous accompagner quasiment tous les jours, dans tous vos déplacements, qu’il s’agisse d’aller à un rendez-vous médical, d’aller faire une course juste en bas de chez vous, ou de partir toute une journée avec bébé. Aujourd’hui, je vais partager avec vous mon expérience du modèle LYRA de William Kent, que j’utilise au quotidien dans ma vie de maman.

Comme vous avez pu le voir sur Instagram, nous avons 2 poussettes. Une pour la vie de tous les jours, que nous gardons dans l’appartement et dont je me sers le plus souvent avec Bubulle lors de nos sorties quotidiennes entre mère et fille, à pied ou dans les transports, et une autre pour les voyages ou les sorties en voiture, qui reste généralement dans le coffre (avec le cosy qui sert de siège-auto).

Avant toute chose, et avant de choisir une marque ou un modèle, il faut garder en tête que vous vous servirez très souvent de votre poussette, qu’elle vous accompagnera aussi bien dans les petits trajets que dans les plus longs, dans les transports en commun, en ville ou en vacances à la campagne… Et ce, même si vous faites du porte-bébé. Alors autant ne pas se tromper dans cet achat ! Je vous conseille d’ailleurs d’aller en essayer plusieurs en magasin avant de vous décider, et de prendre le temps de comparer les modèles. En ce qui nous concerne, nous avions déjà pu tester cette poussette, puisque mon amie Charlène avait opté pour ce modèle.

Aujourd’hui, je partage donc avec vous mon expérience de la première poussette, celle que j’utilise le plus souvent, à savoir, la poussette LYRA de William Kent.

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[highlight background= » » color= » »]Comment bien choisir sa poussette ?[/highlight]

Le confort

C’est le point le plus important : choisir une poussette confortable pour vous et bébé, avec laquelle vous vous sentez à l’aise et que vous maniez sans difficulté.

Ce que j’apprécie énormément avec le modèle LYRA de William Kent, c’est la hauteur de l’assise. En effet, comme vous pouvez le voir sur les photos, je n’ai pas à me pencher beaucoup pour échanger avec ma baby girl. Le cosy est à hauteur de bras. C’était un point très important pour moi, lorsque nous avons choisi la poussette. Je ne me voyais pas avec un modèle très bas, près du sol, où non seulement je doive me baisser jusqu’à m’accroupir, mais où le bébé est du coup trop près (à mon sens) du sol, et du coup des pots d’échappements, etc..

La poussette est totalement adaptée à ma morphologie (je mesure 1m61). Avec le frein juste au niveau de mes pieds. Je n’ai ainsi pas besoin d’allonger la jambe pour y accéder. C’est intuitif, et c’est ce que j’apprécie avec ce modèle. Pas besoin d’y penser, de baisser les yeux pour chercher la pédale, on a qu’à soulever le pied. Easy ! Idem pour monter sur les trottoirs : juste besoin d’appuyer sur la barre (située au même endroit que le frein) et hop !

La flexibilité et la praticité

Là encore, c’est à ne pas négliger. Choisissez des roues assez larges, comme ici, ce qui permet de ne pas ressentir les secousses et permet des balades tout en douceur. En effet, elles tournent aussi très facilement ce qui fait que la poussette est tout terrain. Je n’ai aucun souci lors de mes déplacements dans les parcs, sur l’herbe, sur les dalles irrégulières, sur le goudron, mais aussi dans les transports en commun, dans les escalators…

Le guidon se règle lui aussi en fonction de votre taille et de votre morphologie. Jules peut le régler plus haut, étant donné qu’il est plus grand. C’est aussi très pratique lorsque la poussette est à l’arrêt : je peux baisser le guidon et jouer avec ma poupette, ou la détacher et la prendre dans mes bras par exemple.

comment bien choisir sa poussette
poussette compacte

[highlight background= » » color= » »]Les plus du modèle LYRA[/highlight]

Compacte

En plus des points listés ci-dessus, on peut aussi préciser que la poussette se plie et se déplie en quelques secondes, et ce, très facilement. Pour cela, il suffit d’appuyer sur 2 « boutons » en même temps tout en effectuant le geste de pousser sur la poussette. Elle ne prend pas du tout de place dans le coffre, et le gros plus, validé par Jules, ce sont les roues qui se détachent en un « clic » pour gagner encore plus de place.

Evolutive

Sur les photos, vous pouvez voir le cosy, dans lequel ma baby girl est parfaitement installée, face à moi, et qui peut totalement être utilisé en tant que siège auto. Lorsque Bubulle sera un peu plus grande, une autre assise (vendue avec la poussette bien sûr) viendra remplacer le cosy, face à la route. La poussette Lyra est utilisable de la naissance à 13 kg et en pousette 2ème âge dès 6 mois et jusqu’à 15kg.

Du rangement

Le modèle est doté d’un grand « bac » de rangement, duquel votre sac à main, le sac à langer, vos courses, ne risquent pas de s’échapper. Très pratique pour aller acheter des packs d’eau minérale ^^

pousette william kent
Crédits photo © Gaëlle Photographe
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Mon avis

Je suis totalement convaincue de la poussette. Elle m’accompagne tous les jours dans mes déplacements avec ma fille, et je l’utilise quotidiennement depuis sa naissance. Aujourd’hui, elle a 4 mois, pèse 6,5 kilos, et adore toujours autant ce modèle dans lequel elle se sent très bien.

Où trouver la poussette ?

Vous avez la possibilité de la commander sur le site Internet de la marque Aubert, ou de l’acheter dans l’une des nombreux magasins de l’enseigne.

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poussette comment bien la choisir

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les avantages et inconvenients du statut auto entrepreneur
Life Style VIE DE MAMAN

Le statut auto-entrepreneur : avantages et inconvénients

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« Que vas-tu faire de ta vie Iris ? » Voici une question que j’ai dû entendre des milliers de fois étant plus jeune. Et à chaque fois, je changeais de réponse, avec une nouvelle idée. Mais ce qui restait constant, c’était l’envie d’entreprendre. Je voulais faire quelque chose par moi-même. De plus, je n’ai jamais apprécié qu’on me donne des ordres, je me voyais donc évoluer dans un univers assez libre. J’ai toujours été créative. Toute petite déjà, j’inventais des histoires, et je les apportais même au collège pour les lire durant le cours de français. J’aimais aussi la calligraphie, et ce qui se rapportait aux travaux manuels visuels (perles, collages, découpage, pliage…). Ce n’est donc pas une surprise pour mon entourage de me voir aujourd’hui à mon compte. Oui mais, devenir auto-entrepreneur est-ce vraiment la liberté ?

Je vous parlais dans cet article de mon parcours scolaire. Aujourd’hui, quelques années plus tard et avec du recul, je fais le point sur mes choix de vie professionnelle. Je suis free-lance, par souhait, et je ne regrette pas du tout ce statut. Si c’est un mode de vie qui peut à première vue faire rêver, il faut toutefois être réaliste et sûr de soi avant de se lancer dans cette aventure, et avoir pleine connaissance des aspects que représente ce statut professionnel.

Je possède donc une micro-entreprise, qui me permet de proposer mes services en tant que rédactrice-web, community manager, et créatrice de contenu. Cela me permet également de travailler avec ma casquette de blogueuse / instagrameuse. N’hésitez-pas à me contacter ici si vous souhaitez me proposer une mission ^^

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Les avantages et les inconvénients du statut auto-entrepreneur

Les inconvénients

Commençons par les côtés les moins attractifs. Être à son compte, c’est comme pour tout en fait. Cela a des bons côtés, et des moins bons. Si vous êtes libres d’organiser votre emploi du temps comme vous le souhaitez (vous levez très tôt le matin et être off une partie de l’après-midi, ou inversement), vous êtes totalement dépendants de votre travail et de vos clients. Pas de projets, pas de travail. pas de travail… pas de travail. Et autant le savoir tout de suite, on ne va pas vous fournir les contrats tout farcis dans le bec. Ça ne tombe pas du ciel. Non, c’est à vous de jouer le commercial et de vous vendre. Bref, d’être pro-actif. Alors oui, c’est facile de s’imaginer faire la grasse mâtinée tous les jours, et bosser 2h par-ci, par là, mais, à la fin du mois, ça sera moins rigolo. C’est pour ça que c’est un préjugé qui ne tient pas la route, bien qu’il reste très tenace encore aujourd’hui.

Contrairement à un emploi salarié où vous avez des congés payés et des congés maladie, en free-lance, si vous ne travaillez pas, vous ne gagnez pas d’argent. CQFD. Vous souhaitez faire une vraie coupure pour profiter d’une ou deux semaines de vacances ? Ok, mais vous prenez le risque de perdre vos clients… Depuis que je suis à mon compte, je n’ai JAMAIS pris de congés. Certes, je pars tout de même en vacances au bord de la mer, à la campagne, bref, je change d’air. Mais ce n’est jamais sans travail. Je bosse dans un décor différent, mais je travaille tout de même tous les jours, même si j’essaie de m’organiser en amont pour avoir une charge moindre.

Les avantages

En étant free-lance, je suis libre de mes horaires. Cela dépend des jours, mais je travaille généralement beaucoup tôt le matin jusqu’à midi. Je peux ensuite m’accorder du temps pour moi ,pour prendre l’air, effectuer des tâches ménagères, aller voir des copines, me faire épiler les sourcils… Pour ensuite reprendre le travail un peu plus tard dans la journée. Aujourd’hui, depuis que je suis maman, mon emploi du temps s’articule plutôt autour du rythme de ma petite fille, et cela me convient parfaitement. C’est très important pour moi de pouvoir être présente physiquement pour mon bébé.

Ce qui me tient le plus à cœur dans mon statut d’auto-entrepreneur, c’est la mobilité géographique. Je suis apte à travailler n’importe où. J’ai ainsi la possibilité de rendre visite à ma famille, de passer du temps avec mes parents. Je ne suis pas dépendante de la validation d’un congé par mon patron. Je peux partir quand je le décide, au dernier moment s’il le faut. C’est un point super important pour moi, je déteste les transports en commun. Le fait de devoir prendre le métro tous les matins et tous les soirs, uniquement pour me rendre au bureau, est quelque chose que je trouve vraiment agaçant. Je suis bien plus pro active chez moi. Je trouve que c’est une perte de temps (littéralement), d’énergie, et d’argent, puisque c’est un temps qui pourrait être mis à profit pour travailler, justement. Bien sûr, cette réflexion est valable pour un emploi qui, comme le mien (rédactrice web / cm / content creator), peut s’effectuer n’importe où.

Travailler en open space me dérange profondément. J’ai besoin de calme pour travailler efficacement et c’est impossible lorsqu’on entend les conversations téléphoniques, les papotages, la musique, etc… Je travaille principalement à la maison, au calme ou avec un fond sonore mais parce que je l’aurai décidé. Il m’arrive aussi parfois d’aller dans un lieu public comme un café, une bibliothèque, mais c’est toujours par choix. J’ai également de temps en temps des rendez-vous que je regroupe généralement sur une journée pour être plus efficace.

Je choisis les projets qui m’intéressent. L’avantage, c’est que je peux travailler sur des thématiques qui me tiennent à cœur et dans lesquelles je suis à l’aide. Je peux également varier les domaines et les tâches. En effet, je suis rédactrice web. J’écris. J’aime beaucoup cela. Mais je suis également créatrice de contenu. Je réalise des photos et vidéos pour les supports de communication de mes clients (fiches-produits, blogs). Je suis également community manager, ce qui va de pair ^^ Je me déplace lors d’évènements pour immortaliser en images les temps forts d’une entreprise, le lancement d’un produit, une soirée… Je suis passionnée par mon travail, et me donne à 100% sur chaque mission. D’ailleurs, si vous recherchez une personne pour vos projets, n’hésitez pas à me contacter ici ^^

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Crédits photo © Gaëlle Photographe

Ma casquette de blogueuse / instagrameuse

En tant auto-entrepreneur, j’ai une micro-entreprise avec un numéro de Siret. Je suis donc en mesure de facturer chacune de mes prestations à mes clients. En tant que blogueuse et instagrameuse, je suis régulièrement sollicitée par des marques pour des collaborations et tests produits. La plupart du temps, il s’agit de partenariats gratuits. Je ne touche aucune rémunération, si ce n’est le produit en lui-même (ce qui est tout à fait normal, car je ne vois pas comment je pourrai tester et partager un avis sur quelque chose que je ne connais pas…). Cela me permet de rester objective, et de décider de vous en parler seulement si je l’ai apprécié.

Cependant, il arrive parfois qu’une marque offre une rémunération pécuniaire en plus du don du produit. Dans ces cas-là, je reçois généralement un brief avec les points sur lesquels l’enseigne souhaite insister. Et j’ai l’obligation de vous parler du produit. Je suis néanmoins toujours libre de donner mon véritable avis, à partir du moment où ce dernier est constructif. Sachez que je n’accepte absolument pas toutes les demandes et ne donne suite qu’à celles qui me semblent pertinentes et dans mon univers. Je ne vois pas l’intérêt de vous parler d’un produit que je n’utiliserai pas pour de vrai. Cela me semble logique, mais parfois, l’appât du gain peut ternir le bon sens… C’est comme l’achat de followers, de commentaires ou de likes, mais ça, c’est clairement un autre sujet !

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Un choix réfléchi

Se mettre à son compte, ça ne se décide pas sur un coup de tête. Il faut pouvoir se lancer en toute connaissance de cause, et avoir un minimum de ressources ou de soutien financier derrière soi. Il faut être courageux, et bosseur, et savoir se montrer rigoureux et organisé (les factures, la compta, c’est à vous de tout gérer ^^). Une fois que vous êtes sûrs de vous, il ne vous reste plus qu’à sauter le pas. Aujourd’hui, il est très simple, et surtout très rapide de se créer un statu auto-entrepreneur. Tout se fait maintenant en ligne.

Pour conclure, je dirai que je ne regrette pas du tout mon choix . Je ne dis pas que je ne repenserai pas à un emploi salarié dans quelques années (j’ai travaillé en CDI à plusieurs reprises et ce fut de bonnes expériences à chaque fois), mais pour l’instant, ce n’est pas au programme. Alors oui, je gagne (beaucoup) moins qu’en étant en CDI, je n’ai pas la sécurité de l’emploi, mais je suis heureuse et c’est ainsi que je suis la plus épanouie. Et après tout, le but dans la vie, c’est le bonheur, non ?

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comment endormir bebe dans son lit
Maternité PUÉRICULTURE TOILETTE DE BÉBÉ

Les siestes, les nuits : comment coucher bébé ?

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S’il y a un sujet qui revient fréquemment et que vous êtes nombreuses à me demander sur Instagram, depuis mes premières semaines de maman, c’est bien celui-ci. Comment coucher bébé ? Comment lui faire faire ses siestes ? Comment l’apaiser avant ces temps dodo ? Nous avons de la chance (je touche du bois), notre Bubulle a fait ses nuits quelques jours avant ses 2 mois. Et par faire ses nuits, j’entends : dernier biberon vers 20h, couchée à 21h, et réveil vers 7h du matin avec un biberon vers 7h30/8h. Mais elle a très rapidement tenu longtemps la nuit entre ses biberons. Dès son premier mois, après avoir fait « sauter » le biberon de minuit/1h du matin, elle prenait un dernier biberon vers 21h pour n’en réclamer un autre qu’à 3-4h. Ce qui la faisait tout de même tenir 7h.

Tout s’est joué lorsqu’on a augmenté les quantités de biberon. En passant de 120 à 150, puis, progressivement, en lui proposant un biberon plus conséquent le soir (180). C’était un vendredi soir. Je lui ai donné le biberon vers 19h30. C’était le vendredi. Nous l’avons couché ensuite vers 20h30. Elle a pas mal râlé mais s’est calmé au bout de quelques minutes. Et elle n’a réclamé un biberon qu’à 5h40 du matin ! Le lendemain, même chose, mais en réclamant à 6h17 (précisément, car je regardais mon réveil depuis 5h du matin en mode « mais elle dort encore c’est sérieux là ? Tout va bien ?? »), et le jour d’après, on est passé à 7h10. Et depuis, elle se réveille toujours vers là, pour manger vers 7h30-8h. N’hésitez pas à consulter mon article sur les quantités et fréquences de biberon ^^

Mais la grande question qu’on peut se poser lorsqu’on est jeune parent, que notre enfant fasse ses nuits ou pas encore, c’est comment faire faire ses siestes à bébé ? Et comment le coucher le soir ?

Notre baby girl à désormais 2 mois et demi, et nous avons trouvé notre rythme et mode de fonctionnement. Il y a deux écoles concernant les siestes, et nous les avons toutes les deux testées : les siestes dans le bruit ambiant ou les siestes au calme dans la chambre. Je pense que chaque enfant va réagir différemment, et que c’est à vous, parents, de vous adapter à votre bébé. En effet, ce qui marche sur l’un ne marche pas forcément sur l’autre. Je vais donc partager avec vous dans cet article, la méthode que nous utilisons, et qui fonctionne avec notre fille.

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La sieste

Dans un premier temps, et jusqu’à ses 1 mois et demi environ, nous avons souhaité que notre fille fasse la différence entre le jour et la nuit, en la gardant avec nous dans le salon toute la journée, et en lui faisant faire ses siestes avec nous, dans le « bruit » et la lumière. Puis, ma sage-femme m’a recommandé (et ma maman) de lui faire faire plutôt ses siestes dans son lit dans le noir. J’étais réticente au départ parce que je tenais à ce qu’elle associe sa chambre et son lit au « dodo de la nuit ». Donc dans un premier temps, nous lui avons donc fait faire ses siestes avec nous.

Puis, depuis ses 2 mois, elle fait ses nuits, et nous avons donc décidé de lui faire faire ses siestes également dans son lit, dans sa chambre. Par contre, à la différence de la nuit, nous laissons les volets ouverts. Les siestes n’ont pas été évidentes tout de suite. Lorsqu’elle était avec moi dans le salon, évidemment, elle s’endormait et ensuite je ne la bougeais pas. Donc pas de risque de la réveiller.

Seulement, maintenant qu’elle fait ses siestes dans sa chambre, c’est une autre histoire. Du moins, au début. En effet, soit elle s’endort après son biberon, donc sur moi… et je vais la coucher dans son lit ensuite, sans la réveiller, et là, tout se passe bien. Soit, elle ne s’endort pas, mais elle baille, auquel cas je devine qu’elle a sommeil et vais donc la coucher alors qu’elle n’est pas endormie (même scénario si elle se réveille lorsque je me lève pour aller la coucher). Et là, elle n’aime pas, mais alors, pas du tout. Elle se met à râler, à chercher son pouce, à s’agacer. Au départ, je faisais l’erreur de la reprendre avec moi. Mais j’ai compris au fur et à mesure des jours qu’elle avait besoin de se « décharger » ainsi, et généralement, elle s’endort toute seule après 5-10 minutes. Bien évidemment, si elle hurle ou continue de pleurer passé ce délais, je vais la voir, la prends dans mes bras pour la rassurer et qu’elle comprenne que je suis là. Puis je la repose, et là, elle se calme et s’endort immédiatement.

Il suffit de reconnaître les signes. Ma poupette est d’humeur très joueuse, et souriante. Dès qu’elle ne l’est plus, et qu’elle ne prête plus trop attention à ce qui l’entoure, c’est qu’elle est fatiguée. Elle a aussi une mimique très reconnaissable, dès qu’elle a besoin d’être seule, au calme : elle va chercher à sucer ses pouces. C’est le signal ! Hop je la couche. Qu’elle s’endorme de suite ou pas, elle est paisible. Elle en a besoin.

Elle fait ses siestes habillée, et je ne la mets pas dans sa gigoteuse.

Elle fait généralement 3 siestes par jour : une le matin, de 10h30 à 12h (à peu près ^^), une autre de 14h30 à 16h/16h30 et une en fin de journée.

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Le rituel du « dodo de la nuit »

Depuis quelques semaines, notre Bubulle fait ses nuits, et a donc bien intégré la différence entre le jour et la nuit. Elle sait que lorsqu’elle est dans son lit dans le noir et que tout est calme autour d’elle, c’est le dodo de la nuit. J’ai néanmoins un rituel du soir que j’ai instauré depuis le début avec elle. Que ce soit jour de bain ou non (nous le donnons tous les 2-3 jours), nous donnons le dernier biberon dans le salon, vers 19h30-20h, après l’avoir changé et mise en pyjama. Ensuite, nous la gardons un peu avec nous, à cause de son reflux. Généralement elle s’endort mais se réveille toujours lorsqu’on se lève pour aller la coucher.

Nous nous rendons (soit Jules, soit moi) dans sa chambre, alors seulement éclairée d’une veilleuse, pour la changer afin qu’elle puisse commencer son dodo le plus confortablement possible et au sec. Puis, je la mets dans sa gigoteuse, et la prends dans mes bras pour un gros câlin durant lequel je lui explique que c’est l’heure du dodo de la nuit. Je lui caresse le crâne tout en lui répétant que le dodo de la nuit, c’est le dodo jusqu’au matin, et que papa et maman aussi vont faire le dodo de la nuit. Je lui dis que je l’aime très fort, et je la pose dans son lit. Je lui souhaite alors une bonne nuit, tout en lui caressant doucement le crâne, et je quitte la chambre. À ce stade, deux scénarios : soit elle s’est endormie, soit elle ne l’est pas, et a besoin de succion. Dans ce cas, je l’aide à trouver son pouce avant de la laisser seule. Et elle s’endort généralement dans les minutes qui suivent. À partir du moment où elle est couchée, Jules et moi prenons grand soin de ne plus faire de bruit. De toute façon, généralement, je ne tarde pas, moi non plus, à me plonger dans les bras de Morphée une fois ma baby girl couchée ^^

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Le choix du matelas

Un point important et qui revient souvent dans vos questions Instagram, c’est le matelas bébé. C’est un élément dont le choix est crucial, et nous souhaitions vraiment quelque chose de qualité pour ses nuits. C’est comme pour nous, adultes, le support est primordial. Pour les bébés, les spécialistes recommandent un maintien très ferme. C’est le cas du matelas initial Oniros, que je valide à 100%. Nous l’avons choisis en taille 60×120, ce qui correspond à un lit classique comme celui que nous avons, à barreau, mais également aux standards des lits parapluie (comme sur les photos d’illustration de cet article).

Ils ‘agit d’un matelas dernière génération qui permet une régulation de la chaleur du corps optimale. Ce qui n’est pas superflus, lorsqu’on sait que les bébés ne régulent pas encore leur température. La marque utilise des nouvelles technologies et de fabrication française. On peut notamment voir (je vous ai fait une photos du matelas nu) la structure composée de « plots ressorts ». C’est ce qui va permettre la ventilation au sein même du matelas, évacuant ainsi parfaitement l’humidité pour une hygiène irréprochable.

Notre Bubulle l’a totalement adopté, depuis quelques semaines. J’attendais de l’avoir testé depuis au moins un mois afin de vous faire un retour le plus objectif possible. Je sais en effet que c’est un achat important, et qu’on ne plaisante pas avec le confort de nos bouts de chou ^^ Vous pouvez donc y aller les yeux fermés, c’est validé !

matelas-premium-bebe

Depuis sa naissance et jusqu’à ce qu’elle fasse ses siestes dans sa chambre, nous la mettions dans son cocoonababy. Très pratique, il épouse parfaitement les formes de son corps, et elle s’endort très rapidement dedans. Il nous arrive encore de l’y « déposer » lorsqu’elle s’endort ou qu’elle a besoin de se calmer en journée et qu’elle n’a pas envie d’être dans son transat.

Allez, bonne nuit à toutes et à vos baby ♥♥♥

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